Alors que le ministre des affaires étrangères, Didier Reynders, clame haut et fort que la Belgique ira aider les États-Unis et ses alliés à combattre l’état islamique en Irak et en Syrie, une partie de la hiérarchie de l’armée belge s’insurge contre le manque de moyens et les coupes budgétaires intempestives. En effet, selon eux, les soldats belges ne sont plus équipés correctement, mais la formation a également subit les affres du manque d’investissement, tant et si bien que, toujours d’après eux, il serait dangereux d’envoyer des soldats belges sans refinancer un tant soi peu l’armée.