La rentrée des classe se profile, pour la ministre de l’enseignement obligatoire, Marie Martine Schyns ! Entre le pacte d’excellence, la volonté de faire reconnaître la pénibilité du travail d’enseignant, le décret « titres et fonctions » ou encore les cours de citoyenneté, le cartable de la ministre CDH est bien rempli ! Reste à savoir si la majorité à la Fédération Wallonie-Bruxelles restera identique (PS-CDH) ou si elle changera, avec l’arrivée du MR ou des écolos !
Auteur/autrice : Oli
Oli est un dessinateur et caricaturiste belge. Depuis 2015, Oli est le dessinateur de presse des journaux de Sudpresse (La Meuse, La Capitale, NordEclair, La Province et La Gazette), les quotidiens les plus lus en région francophone belge et dans le nord de la France. Sudpresse Après ses humanités, il décide de suivre la formation en illustration (1999-2002) à l’école supérieure Saint-Luc à Liège. Il enchaîne ensuite avec une formation en développement web. En 2005, Oli débute sa carrière comme webdesigner et graphiste dans le secteur privé. Parallèlement, il lance en 2009 son blog « Les humeurs d’Oli ». Ce sont les élections régionales en Belgique qui ont un effet déclencheur. Oli commet ses premiers dessins d’opinion. Sur www.humeurs.be, Oli publie chaque matin un dessin qui croque l’actualité belge et internationale avec esprit critique et humour. Les personnalités politiques notamment, en prennent pour leur grade et apprécient pourtant le sens de la dérision, les jeux de mots et la finesse des caricatures dont elles font l’objet. Faire croiser dans un dessin deux univers que rien ne rapproche est la marque de fabrique des caricatures d’Oli. Ce contraste entre deux mondes permet au dessinateur de mettre en perspective un message fort, son regard sur l’actualité (politique, économique, culturelle, sportive…) tout en gardant une lecture au premier degré légère et souvent drôle. Grâce aux réseaux sociaux et à la qualité de ses caricatures, le dessinateur est vite suivi par une communauté enthousiaste. De nombreuses entreprises belges et internationales comme la SWDE, ING, Ardennes-Etape… des organisations comme la CGSP, la Ville de Verviers, les centres culturels de Verviers et Spa et des personnes privées font appel à ses talents. Les dessins d’Oli se retrouvent également dans la communication des partis politiques : MR, CDh, PS et Ecolo. Oli effectue plusieurs commandes pour des personnes politiques en vue comme Denis Ducarme, Kattrin Jadin, Vincent Dewolf, Gilles Foret, Jean-François Istasse, Christophe Collignon… En 2011, Oli participe à diverses publications dont Le Poiscaille, journal satirique indépendant, le livre « Sans Commentaires – Zonder woorden » aux éditions « Le Cri » aux côtés des caricaturistes les plus célèbres en Belgique : Pierre Kroll, Philippe Geluck et Nicolas Vadot. La même année, le responsable de JobsRégions donne sa chance à au dessinateur et l’invite chaque semaine à illustrer le supplément de SudPresse. Cette première collaboration avec le grand groupe presse permettra à Oli de se faire remarquer. Il devient 2 ans plus tard le caricaturiste du quotidien régional La Meuse Verviers puis très vite Liège. 2015 est une année charnière pour le dessinateur. Lors du tristement célèbre attentat du journal Charlie Hebdo en janvier, le dessin d’Oli est remarqué par la presse française. En avril, la rédaction de l’édition Sudpresse choisit Oli comme caricaturiste officiel pour l’ensemble des éditions. Les dessins du cartooniste sont désormais popularisés à travers toute la Wallonie et dans le nord de la France. Oli est également invité comme orateur de clôture au TEDxLiège 2015 sur le thème Moonshot. Enfin, il présente quelques autres travaux (bandes dessinées, illustrations, vidéos, animations… ) sur son site web : www.olillustrateur.be ! Vous souhaitez un dessin signé Oli ? Rien de plus simple, un message sur les réseaux sociaux ou un mail à oli@olillustrateur.be ! Afficher tous les articles par Oli
Comment peut-on abuser ainsi et de manière si coûteuse d’un peuple intelligent ? Il est vrai que l’élite intellectuelle a déjà quitté le pays, mais tout de même, il doit bien rester quelques parents qui ont envie d’avoir des enfants connaissant et parlant le latin et le grec, ou bien a-t-on endoctriné tout le monde au point de lui faire croire que l’esclavage pour tous est un must ?
Je le rappelle : s’il est vrai (et même agréable pour certains) que les connaissances individuelles puissent être utilement employées dans le boulet de la vie professionnelle, l’instruction-érudition est une occupation d’homme libre n’ayant aucun rapport avec l’esclavage. C’est le sens du mot « Schola ». Offirr cette liberté à tous les jeunes citoyens était jadis le rôle de l’État qui ne le remplissait pas trop mal avec l’argent du contribuable. Avec ce même argent, il endoctrine maintenant la population en transformant cette liberté en esclavage !
Instruisez vos enfants au moyen de « ce qui ne sert à rien » (le latin, le grec, les concertos de Mozart, la peinture, la poésie, l’histoire, les romans, l’architecture etc.) Ce qui SERT à quelque chose est, par définition, une occupation de SERF SERVILE. Ce qu’on nous impose n’est rien d’autre que du : ARBEiT MACHT FREI déguisé. Et vous l’acceptez sans vous en rendre compte, nom de nom ! Et en payant et en nourrissant vos gardiens de prison. Mais, Bon Dieu !, faites quelque chose !
SCHOLA NOVA