Alors que les écolos réclament à cor et à cri l’abandon du nucléaire, signé dans l’accord de gouvernement de 2007, les libéraux, Georges-Louis Bouchez en tête, continuent de clamer à l’hérésie ! Selon eux, l’approvisionnement et la conjoncture actuelle plaident en faveur d’un maintien des centrales nucléaires, et la construction de centrales au gaz, très émettrices de CO2, irait complètement à l’encontre des enjeux climatiques. Mais en avril, déjà, Engie, le propriétaire des centrales, a annoncé qu’il n’était désormais plus possible de faire machine arrière et que la fin du nucléaire était actée.