Dessins de presse, dessins d'humeur et d'humour, satires politiques, caricatures d'Oli.
1900 emplois seraient menacés chez Proximus suite à un plan de restructuration. L’opérateur télécom pourrait également engager près de 1250 nouveaux collaborateurs pour répondre aux demandes plus actuelles du marché. La CEO de l’entreprise, Dominique Leroy, a été reçue par Charles Michel, qui s’est dit surpris de l’annonce et d’être mis devant le fait accompli et demande à Proximus de revoir sa copie.
Petit changement notable dans le monde des télécommunications en Belgique : le nom de l’entreprise Belgacom va disparaître cette année, au profit de sa marque Proximus, sous laquelle l’opérateur va regrouper tous ses services : téléphonie, télévision et IT. C’est une des premières grandes mesures de la nouvelle CEO du groupe, Dominique Leroy, qui veut renouer avec la croissance et rationaliser les coûts. 2 marques à gérer, c’était une de trop, visiblement !
La route pour trouver un nouveau patron chez Belgacom, pour remplacer Didier Bellens, semble prendre fin. En tête de liste, c’est le nom de Dominique Leroy qui semble faire consensus : la femme est discrète, ambitieuse et efficace, sans couleur politique, et a récolté les faveurs du Kern, groupe restreint des ministres. Stéfaan De Clercq doit maintenant la faire accepter par le conseil d’administration de l’entreprise, ce jeudi vers 12h30. Si ce dernier accepte, Dominique Leroy sera la première femme patronne d’une très grande entreprise du pays. Alors, gagné ?
Depuis l’éviction de Didier Bellens du poste de patron de Belgacom, l’état belge cherche désespérément quelqu’un pour le remplacer. On dit qu’il serait même allé voir l’administrateur de la RTBF, mais que ce dernier aurait décliné l’offre ! Alors, qui pour prendre la tête de cette grande entreprise publique ? Mystère… Il faut dire aussi que les conditions sont nettement moins attractives qu’avant !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le patron de Belgacom, Didier Bellens, n’a pas sa langue dans sa poche. Il s’est fendu, ces derniers jours, de vives critiques à l’égard du gouvernement, tant et si bien qu’il doit rencontrer Jean-Pascal Labille pour s’en expliquer. Et ce matin, on apprend que le commissaire européen, Karel De Gucht, est accusé de fraude fiscale et devrait rembourser la somme de 900.000 euros au FISC. Et on se plaignait d’Albert II…
Après Belgacom, c’est au tour d’un cabinet ministériel. Il y a quelques mois, le cabinet du premier ministre, Elio Di Rupo, a subi une sérieuse intrusion ! Les soupçons pèsent sur la Chine, qui aurait installé des logiciels pirates afin d’espionner le cabinet. Alors, la Chine a-t-elle mis des « pandas de Troie » en Belgique ? Toujours est-il qu’aux dernières nouvelles, Elio Di Rupo n’a pas déposé de plainte…
Belgacom a été espionné, l’histoire semble ne plus faire aucun doute. La question que se pose tout le monde, maintenant, c’est par qui ? On a d’abord parlé de la NSA américaine, puis d’Israël… Voilà qu’on évoque la Chine… Puis qui ? La Russie ? L’Iran ? Affaire à suivre, puisque hier, on dénonçait le double jeu du président de Belgacom, Michel Moll, qui serait également conseillé de Huawei, entreprise chinoise de téléphone, soupçonnée d’espionnage…
Suite à une enquête demandée par l’opérateur historique, Belgacom, il s’avère que l’agence nationale de la sécurité américaine, la NSA, aurait espionné et intercepté les communications de l’entreprise de téléphonie belge. La NSA précise qu’il s’agirait des conversations vers et venant des pays dit « sensibles »… Un film de James Bond chez Belgacom ?
Le gouvernement d’Elio Di Rupo souhaite combler les postes vacants dans les entreprises publiques telles que Bpost, Belgacom, la SNCB ou Brussels Airport. Comme les nominations dans les 17 entreprises publiques sont politiques, cela risque de donner lieu à une belle foire d’empoigne ! Reste à voir s’il seront à la hauteur de leur compétences !
Le message de nouvel an du patron de Belgacom a mis le feu aux poudres ! Didier Bellens a affirmé, entre autres, que « La Belgique tuait ses entreprises », mais également que l’installation de la 4G à Bruxelles était compromise à cause des législations sur les antennes ! Il va être rappelé à l’ordre aujourd’hui par le ministre de tutelle, mais ces propos ont peut-être réveillé le politique. Alors, un mal pour un bien ? A suivre…
