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Le prix des carburants ne cesse de grimper, avec des risques d’arrêt d’approvisionnement. En effet, les revendeurs achètent le carburant plus cher que le prix auquel ils peuvent le vendre. Et vendre à perte est interdit en Belgique. Une situation qui est pour le moins cornélienne !
La BRAFCO, la fédération des distributeurs de carburant, met la pression sur le politique ! En effet, elle a posé un ultimatum de 24h aux décideurs pour trouver une solution à la flambée des prix de l’énergie et menace de ne plus assurer les livraisons ! La Belgique bientôt en panne sèche ?
Les prix de l’énergie ne cessent de grimper, particulièrement à cause de la guerre en Ukraine. D’après des études, les éoliennes citoyennes, gérées par des coopérateurs, seraient celles qui produisent l’électricité la moins chère.
La sortie du nucléaire, qui doit être actée pour le 18 mars, est toujours en négociation. Une sortie complète, comme c’est prévu, et que soutiennent farouchement les écolos ? Une sortie progressive ? Garder le nucléaire pour diminuer la dépendance au gaz russe et limiter les émissions de CO2 ? Visiblement, rien n’est tranché… Du coup, on doit dire « nucléolienne » ou « éocléaire » ?
Et vous, vous pensez quoi des mesures du gouvernement pour lutter contre la hausse du prix de l’énergie ?
Les prix de l’énergie ne cessent de grimper ! Les tensions à la frontière ukrainienne et le chantage russe autour du gaz n’arrangent rien…
Les prix de l’énergie ne cessent de croître et il devient de plus en plus compliqué de se chauffer. La solution ? Mettre un deuxième pull ou attendre un geste du gouvernement…
Les prix ne cessent d’augmenter, et ce, dans tous les domaines !
Alors que les écolos réclament à cor et à cri l’abandon du nucléaire, signé dans l’accord de gouvernement de 2007, les libéraux, Georges-Louis Bouchez en tête, continuent de clamer à l’hérésie ! Selon eux, l’approvisionnement et la conjoncture actuelle plaident en faveur d’un maintien des centrales nucléaires, et la construction de centrales au gaz, très émettrices de CO2, irait complètement à l’encontre des enjeux climatiques. Mais en avril, déjà, Engie, le propriétaire des centrales, a annoncé qu’il n’était désormais plus possible de faire machine arrière et que la fin du nucléaire était actée.
En pleine marche pour le climat, on constate une explosion des demandes de placement de panneaux photovoltaïques. La raison ? L’arrivée d’une taxe sur ce type d’installation… pour celles qui seront placées après le 1er janvier 2020.